Caressée de sable et d’eau, le soleil sur sa peau sous un ciel sans nuage. Sa peau dorée... Je deviens sauvage.

Cette fille là me tue. Son corps m’est défendu. Le romantisme effraye mes pulsions exaltées. Cette fille là me tue. Son corps m’est défendu. En moi vit une bête qu’elle pourrait apprivoiser.

Sa peau dorée au soleil rend fou mes sens en éveil, dévoile sa féminité. Un regard complice échangé...

Cette fille là me tue. Son corps m’est défendu. Le romantisme effraye mes pulsions exaltées. Cette fille là me tue. Son corps m’est défendu. En moi vit une bête. Pour elle je perdrais la tête.

Des sauvages attirés dans un élan sans même penser aux dommages... Cœur éclaté... Corps enlacés...